L'eau courante n'est arrivée dans les villages sinagots qu'au milieu du 20e siècle. Avant cela, il fallait se rendre à la fontaine pour s'alimenter en eau, laver son linge ou faire boire les animaux. A Séné, on appelle communément « fontaine » les trous d'eau auxquels on accède par un petit escalier. Ce type de patrimoine est une spécificité sinagote, que l'on trouve rarement ailleurs. A l'opposé, et comme partout en France, on nomme « puits » ces maçonneries arrondies où l'on accède à l'eau par la verticale. Longtemps inutilisés, la plupart de ces structures ont aujourd'hui disparu ou sont entièrement à l'abandon. Certains d'entre eux ont pourtant retrouvé une seconde jeunesse, notamment avec le développement des jardins partagés, comme à Cressignan, Michotte ou dans le bourg.
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